Cette équipe de l'Université Vanderbilt (Nashville) qui a suivi, durant près de 10 ans, plus de 2.000 hommes ayant suivi un traitement contre le cancer de la prostate, évalue aujourd’hui les résultats associés aux différentes options de traitement. Les effets indésirables associés concernant les fonctions intestinale, urinaire et sexuelle à long terme ont été évalués après chaque type de traitement, afin de permettre des choix mieux éclairés.
Cette large étude d’une équipe d’urologues de la Northwestern University Feinberg School of Medicine (Chicago) révèle une association entre le régime alimentaire et la fertilité masculine : un régime pauvre en graisses apparaît en effet lié à des niveaux de testostérone plus faible chez les hommes. Ces données, présentées dans le Journal of Urology, suggèrent un conseil simple à destination des nombreux hommes diagnostiqués avec une carence en testostérone : si perdre du poids est une solution indiscutablement bénéfique chez les hommes en surpoids, chez les hommes à poids de santé et à faible niveau de testostérone, les régimes allégés en graisses devront être évités.
Cette large étude d’une équipe d’urologues de la Northwestern University Feinberg School of Medicine (Chicago) révèle une association entre le régime alimentaire et la fertilité masculine : un régime pauvre en graisses apparaît en effet lié à des niveaux de testostérone plus faible chez les hommes. Ces données, présentées dans le Journal of Urology, suggèrent un conseil simple à destination des nombreux hommes diagnostiqués avec une carence en testostérone : si perdre du poids est une solution indiscutablement bénéfique chez les hommes en surpoids, chez les hommes à poids de santé et à faible niveau de testostérone, les régimes allégés en graisses devront être évités.
Cette équipe de l’University de l’Utah a voulu s’en assurer : le zinc et l'acide folique sont des compléments alimentaires longtemps vantés comme efficaces contre l'infertilité masculine. Existe-t-il des preuves de cette efficacité dans la littérature et une telle supplémentation peut-elle être recommandée en cas de difficulté à concevoir ? Les réponses de cette étude multicentrique publiée dans le JAMA pourront en décevoir certains.
Presque tous les patients souffrent d’incontinence urinaire immédiatement après une prostatectomie, mais ce pourcentage tombe à environ 5 à 20% dans les 2 années qui suivent la chirurgie. Les patients qui ne bénéficient d’aucune amélioration dans les 2 à 6 mois de la chirurgie, suivent, en général, un programme standard de renforcement des muscles du plancher pelvien. Cette étude de l’Université du Texas plaide néanmoins pour une kinésithérapie individualisée, après une chirurgie de la prostate : en effet, selon ces résultats présentés dans l’International Urology and Nephrology, tous les patients ne souffriraient pas de faiblesse musculaire, après l’intervention.