C’est la plus grande étude jamais réalisée sur le sujet et elle dénonce ou sensibilise clairement l’impact qui reste considérable des traitements du cancer de la prostate sur la vie des patients. Incontinence et troubles de la fonction sexuelle, les résultats, présentés lors du 35è European Association of Urology annual Congress suggèrent que tout traitement en dehors de la surveillance active entraîne des effets négatifs bien plus importants qu'on ne le pensait jusque-là.
L'uromoduline, une protéine produite naturellement par le rein est peut-être la clé de nouveaux traitements non antibiotiques de l’infection urinaire ou de la cystite. Cette équipe de l’ETH Zurich décrypte, dans la revue Science, comment les filaments de cette protéine, l'uromoduline (en bleu sur visuel) enveloppent une cellule d'E. Coli, afin d’empêcher les pili du pathogène de s'arrimer sur les parois cellulaires des voies urinaires et de provoquer l’infection.