Bon fonctionnement des reins, prévention et traitement de l'hypertension et des maladies rénales chroniques, cette découverte de 2 protéines clés, de cliniciens du Massachusetts General Hospital (MGH) pourrait avoir de nombreuses implications dans le traitement des dysfonctions rénales : en décryptant les facteurs et les voies qui contrôlent la formation et la fonction de segments spécifiques du néphron, appelés « néphron distal », l’équipe apporte, ici dans la revue Nature Communications, une toute nouvelle compréhension des dysfonctions et des maladies rénales.
Car la sexualité, dont l'érection, est un processus complexe, à la fois biologique, psychologique et social. L'OMS donne à la dysfonction érectile une définition clinique simple, soit « l'incapacité persistante ou répétée d'obtenir et/ou de maintenir une érection suffisante pour permettre une activité sexuelle satisfaisante ».
Cependant, alors qu'on parle plus fréquemment « d’impuissance », existe-t-il une définition unique de ce trouble, classé au nombre des dysfonctions sexuelles, au même titre que la baisse de la libido, l’éjaculation précoce ou la dyspareunie ?
Traiter efficacement l’infection urinaire, souvent récurrente sans recours systématique et répété aux antibiotiques et prévenir dans le même temps la résistance aux antibiotiques, c’est ce que propose cette équipe de la Newcastle University et d’autres instituts de recherche britanniques. Les chercheurs mettent en avant l’efficacité de l'hippurate de méthénamine comme alternative efficace au traitement antibiotique standard, pour prévenir les infections urinaires récurrentes chez les femmes.