Ces chercheurs de l’Université de Gothenburg ont développé des protections inodores, à base de charbon actif, un composé déjà utilisé dans certains dispositifs de pansement, dans le même objectif. En décryptant le mécanisme par lequel le charbon piège les molécules volatiles de p-crésol, responsables des mauvaises odeurs, ces travaux marquent une étape vers la production de protections plus confortables pour les patients incontinents.