Le prolapsus génital appelé aussi « descente d'organes » nécessite, dans la plupart des cas, une intervention chirurgicale. Cette étude de la Loyola University revient sur l’efficacité, à long terme, de ce type d’intervention et constate, que sur les 7 années qui suivent l’opération, l’incidence de l’incontinence a tendance à augmenter. Ces dernières données publiées dans le JAMA appellent les médecins à informer les patientes du risque d'incontinence associé à l'intervention.
En supprimant un processus cellulaire essentiel à la santé du rein, l’obésité augmente le risque d’insuffisance rénale chronique, avertit cette étude japonaise publiée dans le Journal de l'American Society of Nephrology (JASN). Les résultats suggèrent que favoriser la reprise de ce processus pourrait, a contrario, protéger la santé rénale des personnes obèses.
Les Drs Kosuke Yamahara et Takashi Uzu, de l'Université de Shiga (Japon) ont fait l'hypothèse que l'obésité pouvait réduire le processus d'autophagie, un processus qui élimine les protéines endommagées et d'autres composants cellulaires défectueux.
Cette étude de la Johns Hopkins Medicine (Baltimore) et de l'Université de Yale, présentée dans le Clinical Journal of the American Society of Nephrology, suggère que durant un marathon, les pertes de liquide et de sel (sueur) peuvent entraîner une lésion rénale. Alors que ces pertes sont les principales causes de lésions rénales aiguës après la course, plutôt que l’augmentation de la température corporelle, les auteurs engagent ces sportifs, à un régime personnalisé durant les jours qui précèdent l’épreuve.