En France, 3 millions de personnes souffrent d’incontinence urinaire et, chez les femmes, la prévalence de l’incontinence urinaire varie selon les études de 10 à 57 % et augmente avec l’âge. Chez l’homme, elle est plus rare, augmentant également avec l’âge. A l’occasion de la prochaine semaine de la Continence, du 8 au 13 avril prochain, les urologues du CHU de Nancy proposent aux patient(e)s qui en ont besoin, une prise en charge, avec éventuellement un bilan urodynamique qui permet de les renseigner sur le type de dysfonctionnement urinaire : un défaut du sphincter ou un problème de contraction de la vessie.
C’est parce que le Priligy, premier médicament urologique autorisé en Europe, destiné au traitement de l’éjaculation précoce, arrive bientôt dans les pharmacies françaises, qu’à travers ce sondage dOpinion Way, le Laboratoire Menarini souhaite sensibiliser et « dédramatiser » le trouble de l’éjaculation précoce. Permettant d’augmenter le délai avant l'éjaculation et d'améliorer le contrôle du moment de l’éjaculation, ce nouveau médicament permet aussi de réduire la frustration ou l’anxiété, lié à cette dysfonction sexuelle, qui touche près d'un homme sur 3.
En supprimant d’abord toutes les cellules vivantes d'un rein, on obtient une structure prête à être repeuplée avec de nouvelles cellules qui peut aboutir à un nouveau rein artificiel, implantable. C’est la démarche d’une équipe du Massachusetts General Hospital qui vient de reconstituer ainsi sur le rat, un rein presque fonctionnel qui produit même de l’urine mais nécessite encore quelques perfectionnements.
3 femmes sur 4 y ont déjà été confrontées mais 4 femmes sur 5 sont convaincues qu’il existe des solutions. 2 femmes sur 3 en ont déjà trouvé. Enfin, alors que l’apparence est un point sensible pour une grande majorité de femmes, ce sondage diligenté par TENA et mené par Ipsos révèle que vivre un épisode de fuite urinaire n’arrive qu’en 7ème place des moments les plus redoutés par les femmes.
Alors que la dysfonction érectile affecte environ un homme sur 2 de plus de 40 ans et que les médicaments disponibles, comme le Viagra (sildénafil) ne sont pas toujours efficaces, les statines ont pu être « envisagées » comme un traitement de seconde ligne de l’impuissance. Cette étude égyptienne, publiée dans l’International Journal of Impotence Research, montre, chez des hommes « en échec » avec le sildénafil, une légère amélioration des symptômes avec les statines.
Tomates et aliments à base de soya prouvent leur efficacité dans la prévention du cancer de la prostate, et plus encore lorsqu’ils sont consommés ensemble que séparément, explique cette étude de l'Université de l'Illinois (UI). Ces conclusions publiées dans la revue Cancer Prevention Research, obtenues sur la souris, estiment les apports alimentaires, raisonnables, efficaces pour l’Homme.
Menée sur des souris génétiquement modifiées pour développer une forme agressive de cancer de la prostate, la recherche montre que la moitié des animaux qui avaient consommé de la tomate et du soja ne présentent pas de lésions cancéreuses dans la prostate à la fin de l'étude, alors que toutes les souris du groupe témoin, privées de soja et de tomate développent la maladie.
C’est en juin que le générique du Viagra arrivera en France. Baptisé Verventi, il est fabriqué par Pfizer, le laboratoire américain qui commercialise déjà le médicament original.
Après le Brésil, la Thaïlande et le Canada, c'est en France que Pfizer perd l'exclusivité de la fabrication et de la commercialisation du Viagra. La petite pilule bleue, très populaire dans l'Hexagone, va devoir faire de la place à une petite pilule blanche appelée Verventi : son générique.
Environ une personne sur 10 sera confrontée à un calcul rénal au cours de sa vie et, dans un cas sur deux sera confronté à une récidive. Entre autres conseils, pour prévenir la récidive, ce patient sera invité à boire davantage. Or les boissons sucrées sont associées à un risque accru de calculs rénaux, conclut cette importante étude du Brigham and Women's Hospital.
Incontinence ou vessie hyperactive pourraient trouver un nouveau traitement pharmacologique avec cette étude menée par des scientifiques de Harvard et publiée dans le prestigieux FASEB Journal. Car ces chercheurs dévoilent le mécanisme biologique qui permet à la vessie de détecter son niveau de remplissage et transmet cette information aux nerfs et aux muscles qui contrôlent notre capacité et notre envie « d’y aller ».
Cette étude du Vanderbilt University Medical Center, publiée dans le New England Journal of Medicine nous apporte un précieux bilan des effets secondaires à long terme sur les fonctions urinaire, sexuelle et intestinale des traitements par chirurgie vs radiothérapie des patients atteints de cancer de la prostate. Ses conclusions qui montrent que les différences significatives après une courte durée de suivi, s’estompent quelques années après le traitement, vont pouvoir rassurer les patients traités et leur entourage.