Célébrée le 10 mars, la Journée mondiale du Rein sensibilise chacun à prendre soin de ses reins, afin de réduire la fréquence et l'impact des maladies rénales et des problèmes de santé associés. Cela passe aussi par la prévention des facteurs de risque majeurs maladie rénale chronique, comme le diabète et l'hypertension artérielle. C’est aussi un appel au dépistage systématique de tous les patients qui présentent ces facteurs de risque et un encouragement aux comportements de prévention pour éviter l’insuffisance rénale aigüe.
Trop souvent tue par le patient ou banalisée par le professionnel de santé car considérée comme une partie inévitable du processus de vieillissement, la nycturie est un problème grave ayant pourtant de sérieuses implications sociales et sanitaires pour les patients et leurs familles. Car cette affection touche, en réalité, environ un tiers des adultes. Ces nouvelles données présentées au Congrès de l'Association européenne d'urologie (EAU) qui associent la nycturie, non seulement aux troubles du sommeil mais aussi à une réduction significative de la vitalité et de la productivité, jettent un nouvel éclairage sur ce trouble de la continence et appellent à leur détection et à leur prise en charge.
Peu de statistiques précises existent sur le recours au traitement dans la dysfonction érectile car cette dysfonction sexuelle reste largement tabou et rarement diagnostiquée. Seul un homme sur 5 affecté, ira consulter. Mais cette énorme étude qui a porté plus de 6 millions de patients ayant reçu un diagnostic de dysfonction érectile montre que même après diagnostic, seul un homme sur 4 est traité.
Les températures élevées des saunas pourraient bien être un risque –temporaire- pour la production de sperme si l’on en croit cette toute petite étude –menée sur 10 hommes- suivant un programme de sauna de style scandinave. En effet, ces hommes, dont le sperme était tout à fait « en forme » au début de l'étude, se sont retrouvés avec des spermatozoïdes peu vigoureux et à faible motilité et donc à capacité réduite à atteindre l'ovule.
En France, 3 millions de personnes souffrent d’incontinence urinaire et, chez les femmes, la prévalence de l’incontinence urinaire varie selon les études de 10 à 57 % et augmente avec l’âge. Chez l’homme, elle est plus rare, augmentant également avec l’âge. A l’occasion de la prochaine semaine de la Continence, du 8 au 13 avril prochain, les urologues du CHU de Nancy proposent aux patient(e)s qui en ont besoin, une prise en charge, avec éventuellement un bilan urodynamique qui permet de les renseigner sur le type de dysfonctionnement urinaire : un défaut du sphincter ou un problème de contraction de la vessie.
C’est parce que le Priligy, premier médicament urologique autorisé en Europe, destiné au traitement de l’éjaculation précoce, arrive bientôt dans les pharmacies françaises, qu’à travers ce sondage dOpinion Way, le Laboratoire Menarini souhaite sensibiliser et « dédramatiser » le trouble de l’éjaculation précoce. Permettant d’augmenter le délai avant l'éjaculation et d'améliorer le contrôle du moment de l’éjaculation, ce nouveau médicament permet aussi de réduire la frustration ou l’anxiété, lié à cette dysfonction sexuelle, qui touche près d'un homme sur 3.
En supprimant d’abord toutes les cellules vivantes d'un rein, on obtient une structure prête à être repeuplée avec de nouvelles cellules qui peut aboutir à un nouveau rein artificiel, implantable. C’est la démarche d’une équipe du Massachusetts General Hospital qui vient de reconstituer ainsi sur le rat, un rein presque fonctionnel qui produit même de l’urine mais nécessite encore quelques perfectionnements.
3 femmes sur 4 y ont déjà été confrontées mais 4 femmes sur 5 sont convaincues qu’il existe des solutions. 2 femmes sur 3 en ont déjà trouvé. Enfin, alors que l’apparence est un point sensible pour une grande majorité de femmes, ce sondage diligenté par TENA et mené par Ipsos révèle que vivre un épisode de fuite urinaire n’arrive qu’en 7ème place des moments les plus redoutés par les femmes.
Alors que la dysfonction érectile affecte environ un homme sur 2 de plus de 40 ans et que les médicaments disponibles, comme le Viagra (sildénafil) ne sont pas toujours efficaces, les statines ont pu être « envisagées » comme un traitement de seconde ligne de l’impuissance. Cette étude égyptienne, publiée dans l’International Journal of Impotence Research, montre, chez des hommes « en échec » avec le sildénafil, une légère amélioration des symptômes avec les statines.