C’est une large étude de l’université de Sheffield sur les conséquences du mode de vie sur la santé du sperme et la fertilité masculine, qui révèle les effets de l’usage de cannabis sur les spermatozoïdes. Les conclusions publiées dans la revue Human Reproduction sont claires, en consommant du cannabis (dans les 3 derniers mois) le risque de voir la morphologie des spermatozoïdes affectée, double.
Certains sont modifiables ou évitables, d’autres pas, mais cette étude proposée par des chercheurs britanniques et canadiens fait le point et alerte sur les risques possibles. Particulièrement mis en avant, les facteurs « cannabis » et « soleil » capables d’altérer la morphologie des spermatozoïdes. Ainsi, chez les hommes jeunes, l’usage du cannabis doublerait le risque d’infertilité. Conclusions dans la revue Human Reproduction.
Une hydratation quotidienne trop importante et c’est le risque de distension vésicale. Les conséquences possibles d’une distension vésicale ou d’une « vessie distendue » sont nombreuses, hypo-sensibilité et hypo-contractilité de la vessie, incontinence urinaire d’effort, instabilité vésicale, rétention urinaire vésicale, infections urinaires et inconfort hypogastrique. Or le diagnostic de distension vésicale ou de « vessie distendue » peut être évoqué facilement dès lors que les Apports Hydriques (AH) sont supérieurs à 2 litres par 24H.
Cette étude du Stanford University Medical Center associe, pour la première fois, l’infertilité masculine liée à la mortalité prématurée. Ses conclusions, publiées dans la revue Human Reproduction affectent même à 2 anomalies ou plus du sperme, un risque multiplié par 2 de décès à 8 ans.
L’auteur de l’étude, le Dr Michael Eisenberg, professeur adjoint d’urologie et chef de service de médecine reproductive, compare le risque de décès lié à ces anomalies à celui associé au tabagisme et au diabète, un risque jusque-là relativement peu étudié, souligne-t-il.
Créée il y a plus de 10 ans à l’initiative d’une ancienne athlète de l’équipe de France d’athlétisme et d’un kinésithérapeute, Odysséa, réunit partout en France, autour de marches et de courses, les femmes et leur entourage, au profit au profit de la recherche, de l’accompagnement des patientes et de l’information sur le dépistage précoce du cancer du sein. Parmi les partenaires d’Odysséa, TENA, depuis 7 années déjà, est présente sur chaque course pour apporter sa contribution au bien-être des femmes.
L’incontinence urinaire touche 10% des personnes âgées de 70 à 75 ans, 25% après 85 ans et plus de 50% des patients vivant en institution. Sa fréquence est étroitement associée à la dépendance et aux lésions dégénératives du système nerveux. Ainsi les maladies d’Alzheimer et de Parkinson s’accompagnent presque toujours de troubles mictionnels divers. A l’incontinence, s’ajoute alors l’agitation, chez plus d’un patient sur 2.
La danse pour traiter l’incontinence urinaire chez la femme âgée, c’est original mais efficace, démontre cette étude canadienne menée par des experts en réhabilitation gériatrique. Ses conclusions, publiées dans la revue Neurourology and Urodynamics montrent comment un set d’exercices de danse associé à un programme de physiothérapie pelvienne, le tout sur console de jeu, a permis à 24 femmes âgées de retrouver une bonne maîtrise de leur continence.
L’auteur de cette étude, Wendy Colley est infirmière, spécialiste de l’incontinence avec une expérience de 25 ans dans les soins de continence. Elle nous propose cette étude de cas de gestion de l’incontinence urinaire –chez son mari-, après prostatectomie radicale pour un cancer de la prostate et nous livre, dans la revue Nursing Practice, 5 conseils avisés tout autant que personnels pour mieux gérer l’incontinence post-opératoire.
Un traitement non chirurgical qui comprend le renforcement musculaire pour un meilleur contrôle de la vessie et la relaxation des muscles en cas de constipation ou de douleur pelvienne permet de venir à bout des symptômes du dysfonctionnement du plancher pelvien chez les femmes en apportant, en particulier, une amélioration significative de la continence urinaire. Ce sont les conclusions de cette étude de l’Université du Missouri, publiée dans la revue Female Pelvic Medicine & Reconstructive Surgery, qui plaide pour cette alternative à la chirurgie.