Une consommation modérée d’alcool peut stimuler la fertilité masculine, conclut cette étude italienne, qui a suivi les mesures de fertilité de plus de 300 patients, en rapport avec leur consommation d’alcool. L’étude, présentée dans la revue Andrology, suggère qu’une consommation modérée d’alcool est associée non seulement à un volume de sperme plus important, mais aussi à une concentration et un nombre total de spermatozoïdes plus élevés.
Si les professionnels de santé dont les infirmières et aides-soignantes mais aussi les aidants sont très impliqués dans l’utilisation des produits d’hygiène et de confort pour incontinence, faute de connaissances, mal choisis ces produits sont vite source de dépenses lourdes et inutiles et de conséquences dramatiques pour le patient. Aussi, les soignants et les aidants doivent savoir maîtriser parfaitement l’art de proposer et de choisir un produit de confort, à bon escient, tout en y associant des soins d’hygiène adaptés.
Madame B., 93 ans, diagnostiquée avec hémiplégie droite et incontinence urinaire permanente est institutionnalisée depuis peu en EHPAD, à la suite d’un accident vasculaire cérébral récent. Cette patiente grabataire est dépendante pour toutes les activités de la vie quotidienne. Elle est incontinente urinaire et fécale. Les soignants constatent la survenue d’un érythème fessier étendu avec de multiples érosions cutanées et une mycose des plis.
2 médicaments combinés pourraient venir à bout d’une forme d’infertilité masculine : il s’agit du citrate de clomifène (CC) et de l’anastrozole (AZ); cependant, les données manquent sur l’utilisation de la combinaison de la thérapie CC + AZ. Cette étude américaine, présentée dans le British Journal of Urology International, révèle cette combinaison comme une alternative sûre et efficace pour les patients présentant un taux élevé d’œstradiol ou un faible ratio testostérone / estradiol.
Si les professionnels de santé dont les infirmières et aides-soignantes mais aussi les aidants sont très impliqués dans l’utilisation des produits d’hygiène et de confort pour incontinence, faute de connaissances, mal choisis ces produits sont vite source de dépenses lourdes et inutiles et de conséquences dramatiques pour le patient. Aussi, les soignants et les aidants doivent savoir maîtriser parfaitement l’art de proposer et de choisir un produit de confort, à bon escient, tout en y associant des soins d’hygiène adaptés.
Tout comme l’incontinence, sa comorbidité majeure, la dermatite associée (DAI) reste mal documentée. Pourtant, on estime que sa prévalence varie de 5,6% à 50% selon le type d’incontinence, et est la plus élevée chez ceux souffrant également d’incontinence fécale. Son incidence ou son « développement » interviendrait chez 3,4% à 25% des personnes incontinentes (1-2). Cependant, bien qu’il s’agisse ainsi d’une affection fréquente et fréquemment rencontrée en pratique infirmière ou par les aidants à domicile, des lacunes subsistent à la fois dans la compréhension de ses nombreux facteurs et dans la connaissance des dispositifs et produits qui peuvent contribuer à réduire son incidence.
Le caring ou « le prendre soin » prend toute son importance lorsque le patient est âgé et incontinent. Alors la prévention ou les précautions prises pour préserver la continence, limiter les épisodes de fuites et les risques associés à l’incontinence, chez les personnes fragiles et âgées vont permettre de maintenir un certain niveau de qualité de vie et de joie de vivre et de préserver l’image de soi.
La dermite associée à l’incontinence (DAI) correspond à une altération cutanée associée à l’exposition des tissus à l’urine et/ou aux selles. Elle engendre pour le patient une gêne et une douleur parfois considérables avec une véritable altération de la qualité de vie. Son traitement peut s’avérer complexe et engendre pour les soignants une charge de travail supplémentaire. Car la DAI résulte en effet d’un processus complexe à la fois irritatif et de friction, qui entraîne une inflammation et une irritation de la peau.
Madame B., 93 ans, diagnostiquée avec hémiplégie droite et incontinence urinaire permanente est institutionnalisée depuis peu en EHPAD, à la suite d’un accident vasculaire cérébral récent. Cette patiente grabataire est dépendante pour toutes les activités de la vie quotidienne. Elle est incontinente urinaire et fécale. Les soignants constatent la survenue d’un érythème fessier étendu avec de multiples érosions cutanées et une mycose des plis.
Les conditions médicales chroniques sont fréquentes chez les femmes souffrant d’incontinence urinaire. Cette étude de l’Université de l’Alabama à Birmingham nous en dit plus, en suggérant l’incontinence comme un vrai marqueur de maladies chroniques et précisément d’hypertension, d’hypercholestérolémie et de maladies pulmonaires, en particulier l’asthme. Ces conclusions, présentées dans le British Journal of Urology (BJU) International engagent à creuser ces associations par de nouvelles recherches.